à travers les contraintes et les absurdités du monde actuel, ils organisent, sans plus attendre, les conditions de la vie qu’ils veulent

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« …à travers les contraintes et les absurdités du monde actuel, ils organisent, sans plus attendre, les conditions de la vie qu’ils veulent… » (Thomas d’Ansembourg, « Qui fuis-je, Où cours-tu ? A quoi servons-nous ? p.192)

Découvrons autour de nous des initiatives positives qui travaillent à la protection de la nature et à une société plus solidaire. Nous y trouverons énergie, motivation et inspiration à partager sans modération !

Dans notre région, de nombreuses personnes agissent ensemble et font partie d’un réseau peu visible mais bien réel.

Plusieurs propositions pour vous aider dans cette réflexion : visiter des associations et des initiaves locales qui oeuvrent pour la justice sociale (en contactant par exemple Action Vivre Ensemble pour connaître les associations soutenues), la protection de la nature ou la transition, rencontrer un partenaire d’Entraide et Fraternité,…

On peut aussi réfléchir à partir des deux extraits de « Laudato Si » ci-dessous, sur les enjeux de justice et d’éthique dans les relations internationales et sur les actions menées,.

51. L’inégalité n’affecte pas seulement les individus, mais aussi des pays entiers, et oblige à penser à une éthique des relations internationales. Il y a, en effet, une vraie “dette écologique”, particulièrement entre le Nord et le Sud, liée à des déséquilibres commerciaux, avec des conséquences dans le domaine écologique, et liée aussi à l’utilisation disproportionnée des ressources naturelles, historiquement pratiquée par certains pays. Les exportations de diverses matières premières pour satisfaire les marchés du Nord industrialisé ont causé des dommages locaux, comme la pollution par le mercure dans l’exploitation de l’or ou par le dioxyde de souffre dans l’exploitation du cuivre. (…)

52. La dette extérieure des pays pauvres s’est transformée en un instrument de contrôle, mais il n’en est pas de même avec la dette écologique. De diverses manières, les peuples en développement, où se trouvent les plus importantes réserves de la biosphère, continuent d’alimenter le développement des pays les plus riches au prix de leur présent et de leur avenir. (…) Il faut que les pays développés contribuent à solder cette dette (…) ».

Et le pape François nous invite à construire un monde meilleur 
(Laudato si n° 13)

 « L’humanité possède encore la capacité de collaborer pour construire notre maison commune. Je souhaite saluer, encourager et remercier tous ceux qui, dans les secteurs les plus variés de l’activité humaine, travaillent pour assurer la sauvegarde de la maison que nous partageons. Ceux qui luttent avec vigueur pour affronter les conséquences dramatiques de la dégradation de l’environnement sur la vie des plus pauvres dans le monde, méritent une gratitude spéciale. Les jeunes nous réclament un changement. Ils se demandent comment il est possible de prétendre construire un avenir meilleur sans penser à la crise de l’environnement et aux souffrances des exclus ».